Amorcé à l'automne 2011, le plan d'ensemble de cette réfection extérieure avait fait l'objet de solides études confirmant sa nécessité pour assurer la pérennité du bâtiment tout en respectant les nouvelles normes parasismiques ainsi que les normes de conservation et de température requises pour un édifice à vocation muséale.
Les coûts inhérents à la réalisation de ce plan d'ensemble, complété à 60 %, sont couverts par un budget spécial, alloué il y a déjà trois ans, par le ministère de la Culture et des Communications du Québec.